J'ai rêvé que j'avais un tout nouveau boulot, quelque part dans une SSII au Pôle Nord, la journée de travail je me disais je vais bien finir par me faire virer à force de déambuler dans les couloirs en caleçon/chaussettes avec mon air endormi. Rentré chez ma famille d'accueil - car décidément je dois être incapable de vivre seul - j'ai voulu aller voir les glaces éternelles à pied ; je marchais sur une espèce de glace jaunie et pas lisse du tout qui me semblait devenir de moins en moins épaisse à mesure que j'avançais... Comme je ne me voyais pas trop couler dans de l'eau à moins dix degrés j'ai rebroussé chemin à tâtons en constatant avec horreur que le tout fondait sous mes pieds. Arrivé vers la maison, porte après porte je laissais s'écouler des torrents de flotte glacée et j'ai pris le passage secret qui m'a fait sortir par un placard de dessous le lit de ma cousine, qui a hurlé parce qu'elle était couchée avec son amant japonais - une espèce de caillera chauve au visage burriné. Moi j'étais très content de faire sa connaissance et je voulais lui témoigner mon amitié sincère, mais lui s'est contenté de me regarder de travers en se rhabillant. Ensuite on s'est retrouvé en famille dans une espèce de stade, du genre pour des matchs de hockey, et j'ai sympathisé avec un vieux bluesman du delta qui jouait là, et il y avait une vitre avec de l'autre côté des dizaines de visages jivaro rapetissés qui nous faisaient des grimaces avec beaucoup d'expression, et je voyais en même temps les visages des types qui avaient été ces têtes et qui nous faisaient des grimaces encore plus horribles... Ca faisait beaucoup rire mon copain bluesman. Puis il a fait sombre, et on s'est fait virer par un petit vigile trapu. Et aussi, à un moment quelqu'un de ma famille avait perdu son mobile, mais il y avait un système spécial dans les toilettes pour récupérer ses téléphones perdus : il étaient tous là rangés dans un meuble à cases transparent et il suffisait de composer le numéro du sien dans un petit clavier sur le mur à côté pour qu'il retombe. Plus tard il y avait une fille, une espèce de brune arrogante qui me tournait le dos et qui embêtait quelqu'un de ma connaissance. Je lui ai touché les fesses pour l'embêter à mon tour et son agressivité s'est détournée sur moi. Ensuite, je ne sais plus comment, j'ai fini par l'embrasser (pardon pardon ce n'est qu'un rêve) et elle est partie et j'ai vu Mari débarquer avec ses copines et elle m'a jeté un regard désapprobateur. Y'avait aussi Ozzy Osbourne dans un coin - on devait manigancer ensemble un truc pas net.